Aujourd’hui, je m’installe face à Nicolas Belleteste… et – soyons honnêtes – mes notes de préparation se sont avérées inutiles ! OCS cultive la discrétion ; l’ambiguïté était presque volontaire. Je découvre donc – en même temps que vous – les coulisses d’une entreprise qui ne se contente pas de nourrir, mais qui veut laisser une empreinte positive.
Oui, la chronologie est plus récente que je ne le pensais : OCS naît en 2009, décroche son premier contrat avec la Fédération royale marocaine de football, toujours fidèle quinze ans plus tard – un joli signe d’engagement client, puis bâtit deux piliers solides – restauration collective et facility management. Mais ce qui retient surtout mon attention, c’est la manière dont le groupe grandit.
Au fil de la conversation, vous entendrez comment trois acquisitions – ProxiRest, Alizés Nettoyage et Artis Environnement – ont été intégrées sans diluer l’ADN des marques ; comment la Fondation OCS finance soins, entraide et bientôt les études d’enfants de salariés ; comment la « table des parents » ouvre la cantine aux familles ; et comment l’entreprise embarque de jeunes trisomie 21 ou organise des caravanes médicales dans les villages touchés par le séisme.
Pendant ce temps, les chiffres suivent : de cinq salariés au siège à cinq mille, de 87 millions à 1,1 milliard de dirhams de chiffre d’affaires, 210 000 repas servis chaque jour – sans jamais perdre cette envie d’avoir de l’impact.
Au-delà des métiers et des acquisitions, c’est justement cette envie – de faire mieux, d’intégrer, d’agir – qui m’a le plus marquée. Je vous invite à la découvrir dans cet épisode.