Automobile, une industrie européenne dans la tourmente
Mes interrogations récentes relatives au futur de notre équilibre économique et social sont passées par plusieurs étapes.
Comme vous certainement, j’ai commencé par mesurer l’impact de notre désindustrialisation sur notre appauvrissement en cours. Cette première phase s’est achevée avec le livre co-écrit avec Guillaume Caudron en même temps qu’Olivier Lluansi sortait le sien sur le même thème. Le livre est sorti à l’automne 2024 mais il avait été achevé un an plus tôt.
J’ai cru un temps que nous commencions à nous redresser. De fait pendant quelques mois, le solde d’ouverture-fermetures de sites industriels est devenu positif, bien aidé des plans France 2030 et France Relance post-Covid.
C’était pour mieux replonger. S’il y a un secteur qui illustre le mieux ce nouveau drame, c’est l’automobile. L’automobile, premier secteur d’emploi en France, parmi les premiers pourvoyeurs de ressources pour l’Etat et la Sécurité Sociale, est en train de disparaître sous nos yeux.
Que faire donc ? C’est la question que je pose à mon invité du jour, Vincent Cobee qui dirigea Citroën sous le management de Carlos Tavares.
Vincent n’est plus en fonction, sa parole est libre. Elle est d’autant plus riche. Ecoutez-la.
Interview réalisé par Martin Videlaine
Je m’appelle Martin Videlaine. J’ai créé et dirige BlueBirds. Nous proposons les services de 6 000 indépendants à haute valeur ajoutée, consultants freelances, managers de transition et experts en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient.
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